Livraison de repas ultra nourrissants

Healthcare recipes for delivery and carry out programs
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Nous avons créé des recettes pour les services alimentaires de soins de santé, destinées à un programme de repas à domicile.

Pas facile de garantir une bonne alimentation, particulièrement chez les personnes récemment sorties de l’hôpital ou les aînés vivant seuls. Et ce n’est pas qu’une question d’évaluation clinique et de besoin en nutriments. Si l’on souhaite augmenter la prise alimentaire et prévenir la perte de poids, lequel ralentit la guérison et nuit au bien-être général, la clé consiste à rendre les aliments accessibles et faciles à manger.

Pour améliorer l’alimentation, il suffit souvent de mettre des repas entre les mains de ceux qui en ont besoin. En effet, beaucoup d’aînés ou de malades ne mangent pas assez parce qu’ils n’arrivent pas à se procurer de nourriture en raison de limitations physiques ou qu’ils n’ont plus le désir ou la capacité de cuisiner. La livraison de repas préparés représente donc une étape importante vers une alimentation adéquate et la guérison.

L’art du repas

C’est peut-être le moment d’offrir des repas préparés nourrissants, savoureux et réconfortants. Notre sélection de mijotés et de casseroles comblera les attentes à tous points de vue. En plus d’être exquis, ces plats peuvent être transportés, congelés, réchauffés et adaptés, c’est-à-dire qu’on peut aisément en modifier le rendement en fonction de la demande.

« Ces recettes peuvent faire partie d’un programme qui prévoit la livraison de plats à des gens dans le besoin », explique Dana Fillmore, nutritionniste et directrice du secteur santé chez Service alimentaire Gordon®.

Ces mets moelleux, réconfortants et très nutritifs plairont à la plupart des gens. La sélection comprend même un plat végétarien, pour plus de souplesse du menu. 

Il suffit de préparer, puis d’emballer les repas en fonction des besoins de sa clientèle. À ce sujet, Mme Fillmore suggère d’utiliser des plats qui peuvent contenir de deux à quatre portions. Et pour s’assurer que le processus est efficace et économique, on aligne la production de repas pour emporter ou livrer au menu habituel de son établissement. Les plats peuvent même être offerts aux employés et aux visiteurs.

Le bonheur du réconfort

Succulents, familiers et faciles à manger, les plats réconfortants stimulent l’appétit et flattent les palais. 

« La popularité des plats réconfortants demeure l’une des principales grandes tendances dans tous les secteurs des services alimentaires », affirme Gerry Ludwig, chef corporatif consultant chez Service alimentaire Gordon. 

Comme ils sont généralement bourrés de calories, les plats réconfortants comme les casseroles sont parfaits pour les personnes qui mangent peu, fait remarquer Carmen Bowman, propriétaire d’Edu-Catering et conseillère dans le domaine des services alimentaires et de la santé. Elle donne l’exemple du très calorique macaroni au fromage, un grand favori.

L’ABC de la cuisine réconfortante

  • Riche et calorique. 
  • À base de protéines économiques, p. ex. la viande braisée ou hachée.
  • Familiale et sans prétention.
  • Agréable en bouche, tendre et moelleuse.

Pratiques de salubrité alimentaire

Pour garantir l’innocuité des aliments préparés en grande quantité, il faut respecter ce qui suit. 

Refroidir
Les aliments doivent être refroidis à 20 °C (68 °F) dans un délai de deux heures, puis de 20 à 4 °C (68 à 40 °F) ou moins dans une période additionnelle de quatre heures.

La température interne des aliments froids destinés à être servis plus tard ne doit pas dépasser 4 °C (40 °F).

Étiqueter et dater
S’ils sont entreposés correctement, les plats préparés se conservent trois ou quatre jours. Cependant, il vaut mieux vérifier auprès des autorités sanitaires pour obtenir les directives en matière de temps de conservation pour sa région. Selon les politiques de son organisation, on peut aussi opter pour un délai plus court. D’une manière ou d’une autre, l’étiquette apposée doit indiquer le nom de l’aliment ainsi que les directives d’entreposage et de réchauffage. On doit également ajouter la date de préparation et la date à laquelle le plat doit être jeté. Le premier jour correspond au jour de production et le quatrième, au moment où l’on doit jeter l’aliment. On doit aussi se rappeler que la congélation prolonge la durée de conservation, mais ne la remet pas à zéro quand on dégèle le produit.

Réchauffage 
La température interne de cuisson finale doit atteindre la température initiale de cuisson en moins de deux heures.

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